Les engins de l'album: Message pour l'Eternité
Plus connue sous son nom commercial Honda CB500 "Four", cette moto offerte par Monsieur Vermont pour remplacer la 125 détruite par Yoko pendant la poursuite de Karensky. Modèle de 1973 (encore une Honda). Le K correspond à la version. Il n'y a eu que trois versions pour ce modèle (K0, K1 et K2), le K0 datant de 1971. Ce n'est pas une moto sportive malgré sa forte puissance.
A signaler que ce modèle était très récent à l'époque de la parution dans Spirou DU MIEL POUR YOKO, de L'ARAIGNEE QUI VOLAIT et de La forge de vulcain.
(Infos et Photos www.motocollection.com)
Caractéristiques |
Période de fabrication : 1971-1975 |
Caractéristiques |
Longueur : environ 4,5 m Envergure : environ 12 m Hauteur : envion 1,3 m Altitude max : 4000 m, 24000 m (pendant convoyage). Vitesse Max : 600Km/h (vitesse supportée par l’aile pendant le convoyage). Rayon d’action : dépend de l’habileté du pilote. Moteur : 2 boosters fusés à poudre. |
Caractéristiques |
Année 1972 / 1973 (5 904 ex.) Moteur Type 6 cylindres à plat 2 Soupapes par cylindre Distribution 2 x 1 ACT (chaîne) Cylindrée (cm3) 2 341 Alésage x course (mm) 84 x 70,4 Régime maxi (tr/min) 6 200 Puissance maxi (ch à tr/min) 190 à 6 000 Puissance spécifique (ch/l) 79,2 Couple spécifique (mkg/l) 10,8 Transmission Propulsion Boite Rapports 5, mécaniques Direction Non assistée Longueur x Largeur x Hauteur (mm) 4 160 x 1 610 x 1 320 Jantes avants 14" Jantes arrières 14" Pneumatiques avants 185/70 HR 14 Pneumatiques arrières 185/70 HR 14 Poids constructeur(kg) 1 125 Rapport poids/puissance (kg/ch) 5,9 / - Vitesse maxi (km/h) 232 - De 0 à 100 km/h (s) 7,0 - De 0 à 1000 m (s) 27,9 |
(Infos et Photos http://www.boeing.com)
Caractéristiques |
Diamètre : 2,38 m Hauteur 5,31 m Poids : 595 Kg en début de vie (soit avec tout le carburant des correcteurs de trajectoire) |
La raison de son succès tient essentiellement à ses performances de vol et de combats excellentes comparées à son coût d’achat tout à fait abordable pour de nombreux pays, même si ses successeurs, le Mig 23 et le Mig 25 l’ont depuis largement dépassé. Les derniers modèles, pourvus de l’excellent radar AI-R2L, étaient équipés de volets soufflés, ce qui réduisait la vitesse - donc la distance nécessaire - au décollage et à
l’atterrissage. A l’époque où il apparaît dans Message pour l'éternité, il restait un appareil redoutable en dépit de son âge.
Caractéristiques |
Longueur : 13, 46 mètres. Moteur : 1 turbo-réacteur Tourmansky R-11 F d’environ 6 tonnes de poussée. Vitesse maximale : 2175 km/h ou Mach 2.0 à 13.000 mètres. Vitesse ascensionnelle : 3125 m/minutes. Autonomie : 1300 km. Armement : d’abord 2 canons de 30 mm sous le fuselage, puis un seul canon au profit de 2 missiles air-air AA-2 “Atoll” ou 2 paniers à roquettes. |
À la fin des années 1920, la compagnie Imperial Airways (fondée en 1924) ouvrait progressivement un réseau de lignes aériennes permettant depuis l’Angleterre de rejoindre l’Afrique, le Moyen-Orient et les Indes. La compagnie désirait en particulier importer dans l’aviation commerciale le concept ferroviaire des trains “Pullman” de jour (1), consistant en des aménagements luxueux et surtout le service des repas à la place, les transports aériens souffrant d’une mauvaise réputation sur le plan du confort; elle recherchait en outre des appareils capables de desservir les pistes courtes qui se rencontraient dans l’empire colonial.
De la conjugaison de ces critères naquit un avion dont la conception, suivant une tradition bien ancrée dans les transports publics britanniques, relevait d’un singulier mélange de tradition et d’innovation. La commande de huit appareils HP42 fut passée en 1928 à la société Handley-Page; cette série se divisait en deux sous-séries de quatre appareils chacune, les HP42W (pour “Western”) destinés à l’Europe, et les HP42E (“Eastern”) conçus pour les lignes vers l’Afrique et les Indes.
L’avion réalisé par la société Handley-Page était presque entièrement métallique. L’importante voilure se composait d’une aile principale supérieure, supportée par des entretoises obliques, et une aile inférieure secondaire. L’enpennage, imposant, se composait de deux plans horizontaux et de trois plans verticaux. L’ensemble était rigidifié par quelques haubans. Le HP42 fut l’un des derniers biplans destinés au service des voyageurs. L’importance de sa voilure lui permettait de desservir les pistes les plus courtes car il atterrissait et décolait sur une longueur remarquablement réduite; en revanche, l’énorme traînée aérodynamique de l’ensemble limitait sa vitesse. L’avion était propulsé par quatre moteurs, deux regroupés sur l’aile supérieure au dessus du fuselage, et deux autres de part et d’autre sur le plan inférieur. Sa vitesse de pointe atteignait 200 km/h, ce qui permettait une vitesse commerciale de 160 km/h environ. En 1931, le HP42 partageait avec l'hydravion Short S.17 le titre de premier quadrimoteur du monde.
La carlingue comportait deux cabines accueillant les voyageurs, à l’avant et à l’arrière des ailes. Les voyageurs disposaient de deux rangées de fauteuils séparés par une allée centrale et partiellement disposés en vis-à-vis. Des tables spécialement concues, dotées de rebords, permettaient la restauration à la place (2). Au centre étaient rassemblés des sanitaires, un compartiment à bagages et une petite cuisine permettant le réchauffage des repas. La cabine de pilotage, surélevée et entièrement fermée, abritait un équipage de trois personnes auxquelles s’ajoutait le personnel de cabine.
Les deux sous-séries se distinguaient par leur capacité et leur motorisation. Les HP42W emportaient 38 voyageurs, 18 à l’avant et 20 à l’arrière; ils étaient entraînés par des moteurs Bristol XIF de 490 cv chacun. Les HP42E possédaient quant à eux des moteurs Bristol “Jupiter” XFBM de 550 cv. Ils n’emportaient que 18 voyageurs, 6 à l’avant et 12 à l’arrière, capacité portée ultérieurement à 24 par ajout de six sièges dans la cabine avant. Leur capacité en bagages, courrier et carburant était en conséquence supérieure à la variante européenne.
Le premier avion livré à Imperial Airways entra en service en juin 1931, après avoir fait son premier vol le 17 novembre 1930. Appartenant à la sous-série HP42E destinée aux lignes coloniales, il fut baptisé Hannibal, et affecté provisoirement à la ligne Londres-Paris, en attendant la livraison du premier HP42W Heracles en Septembre 1931. Suivant une tradition héritée de la construction navale et ferroviaire, le nom du premier exemplaire donna le nom générique de la série (les britanniques préférant d’ailleurs parler de “classes”, les HP42W devinrent pour la postérité la “Classe Heracles” et les HP42E la “Classe Hannibal”). Les appareils portaient des noms de personnages antiques commençant par la lettre “h”. Les exemplaires européens étaient baptisés Heracles (G-AAXC), Horatius (G-AAXD), Hengist (G-AAXE) et Helena (G-AAXF). Les appareils coloniaux étaient Hannibal (G-AAG , Horsa (G-AAUC), Hanno (G-AAUD) et Hadrian (G-AAUE).
Affectés à Croydon, près de Londres, les HP42W assuraient des rotations vers Bruxelles, Cologne, Bâle et l’Europe centrale. Leurs plus longues tournées les conduisaient à Athènes et à Brindisi. Ils venaient régulièrement au Bourget, sur les rotations Paris-Londres ou en escale sur les lignes conduisant à Bâle ou à Zurich. Les HP42E, affectés pour leur part au Caire, desservaient l’Afrique centrale et de l’ouest, jusqu’à Lagos, ainsi que la dure ligne vers Le Cap ouverte en 1932; aux Indes, leurs rotations les conduisaient à Karachi et à Delhi, d’où une correspondance vers Singapour, puis Brisbane à partir de 1935, était possible (3).
Dès leur sortie, les HP42 étaient considérés comme des avions lents. Ils furent concurrencés, d’abord sur les lignes africaines puis vers les Indes, par les rapides monoplans Armstrong-Witworth AW15 livrés à partir de 1933. Si la situation de concurrence avec le chemin de fer leur permit de se maintenir facilement en Europe, en particulier sur Londres-Paris, c’est principalement leur confort qui les fit apprécier du public et de l’exploitant. Outre la qualité de leurs aménagements, les HP42 étaient particulièrement silencieux, ne comportant aucun siège au niveau des moteurs, ces derniers n’étant d’ailleurs pas directement solidaires de la carlingue. En outre, ils étaient particulièrement fiables, et ne subirent aucune perte, et plus généralement aucun accident grave durant leur carrière. Les huit appareils furent retirés du service entre 1939 et 1941. Aucun n’a malheureusement été conservé. Ne restent que les souvenirs, et la fantaisie d’un certain auteur, qui en 1978 fit revivre un avion certes “démodé” pour le technicien, mais qui volera longtemps, pour le poète, dans l’espace intemporel du rêve...
L’avion représenté par Leloup, le G-AAXJ Horus, est un neuvième exemplaire fictif, inventé par l’auteur pour les besoins du volume 5 Message pour l'Éternité, appartenant à la classe “Hannibal” (appareil colonial). Leloup a simplement repris le principe d’immatriculation et de baptème du reste de la série. C’est probablement l’aptitude à atterrir sur de très courtes distances qui a en partie motivé le choix de ce type d’avion à l’esthétique spectaculaire.
(1) George Mortimer Pullman (1831-1897) introduisit sur les chemins de fer américains un concept de voiture à couloir central convertible en couchettes sans compartiments, encore répandu en Amérique du Nord et en Russie. Georges Nagelmackers (1845-1905), impressionné par le confort du matériel Pullman américain, fonda en 1883 la Compagnie des Wagons-Lits et des Grands Express Européens. Il importa les conceptions de Pullman non sans les avoir adaptées au goût européen: il développa ainsi la voiture-lits, la voiture-restaurant, ainsi que la voiture-salon avec restauration à la place, destinée plus particulièrement aux trains de jour. Tandis que “pullman” devenait un nom commun désignant toute voiture de chemin de fer particulièrement luxueuse, le concept fut ultérieurement transposé dans les avions et les autocars. (2) Imperial Airways avait inauguré ce type de service en 1926 sur les AW.154 (Armstrong-Witworth “Argosy 1”) de la ligne Paris-Londres, dite “Aile d’Argent”, et concurrente de la “Flèche d’Or”, ligne associant trains “Pullmann” et ferry. Devenue rare dans les trains, la restauration à la place s’est en revanche généralisée dans l’aviation. (3) Rappelons qu’un voyage en avion, dans les années 1930, vers une destination aussi lointaine que l’Inde ou l’Australie, exigeait un temps qui se comptait encore en jours, avec de nombreuses escales et plusieurs changements d’avion. Les principales sections maritimes étaient assurées en hydravion, et certaines sections terrestres, comme la traversée des Alpes, exigèrent longtemps un transfert en train. Enfin, on n’osait pas encore affronter l’Atlantique nord, dont les rares traversées aéronautiques relevaient toujours de l’expérimentation ou de l’exploit isolé.
Commentaire: Hallberg. N.B.: les sources donnent parfois des informations contradictoires sur ces avions. N'hésitez pas à nous faire parvenir toute information fiable.
Voici un complément d'information de Yann
Le Handley Page 42: La compagnie Imperial Airways est née en 1924 de la fusion de quatre petites compagnies aériennes (dont Handley Page Transport Limited) composant un total de 13 avions. Elle commanda plus tard huit appareils à Handley Page, spécialement conçus pour ses besoins: les HP-42 se déclinant en deux classes, W (West) et E (East), respectivement affectée sur l'Europe et sur le Moyen-Orient jusqu'à l'ouest de l'Inde. Il n'y a jamais eut de neuvième appareil, cependant il existe effectivement un mystère à propos de la disparition de l'un de ces avions, mais la compagnie avait alors changé de nom. Le 1er Mars 1940, cinq mois après qu'Imperial Airways aie fusionnée avec British Airways Limited pour former la British Overseas Airways Corporation, le "Hannibal" (G-AAGX) disparait officiellement au dessus du Golf d'Oman, sur un vol d'étape entre Jiwani (à l'est de la côte iranienne) et Sharjah (Emirat Arabes Unis). Ce vol emportait officiellement quatre membres d'équipage (pas de M. Smith, désolé), et quatre passagers très importants ainsi que des documents militaires. Malgré les recherches minutieuses organisées par la RAF, l'appareil restera classé comme perdu corps et bien. Alors que la deuxième guerre mondiale n'en n'est qu'à ses débuts, ce vol et sa disparition garde un parfum de mystère. Les faits publics exhaustifs et officiels (listes des passagers, des membres d'équipage, plan de vol, derniers messages échangés...) peuvent être trouvés sur Internet, ainsi qu'un éventail d'hypothèses tout à fait intéressantes pour un auteur.
Complément d'information par Petrushka :
Yann disait qu'un avion partant de Karachi en direction de Londres a peu de chance de passer par le nord de l'Afghanistan (ces deux directions sont pratiquement à angle droit) et que même si on place un HP-42 sur cet itinéraire, avec un rayon d'action de 800 kilomètres, cet avion n'aurait pas pu traverser tout le Pakistan du sud au nord sans faire d'escale. C’est vrai… Mais le biplan quadrimoteur est pris dans un orage violent… Un ouragan où les vents soufflent à plus de 200 à l’heure vers le Nord-Est… Un avion ne se déplace pas seulement par rapport au sol mais suivant la vitesse du vent rencontré… Si sa vitesse de croisière est comme pour le Handley-Page de 160 kms heure et s’il se déplace dans une masse d’air qui le pousse dans le dos en soufflant à disons 180 kms heure de moyenne (c’est normal pour un ouragan) les vitesses vont s’additionner… Comme l’appareil avec son autonomie de 800 kms, les franchit par temps normal à 160 soit durant cinq heures… Durant ce temps dans la tempête, il aura volé à 160 + 180 (ouragan) à la vitesse de 340 kms heure par rapport au sol et ce durant 5 heures avant d'être à sec...… Ce qui donne 1.700 kms …Soit la distance qui sépare Karachi au cratère… Le compte est bon et croyez bien que Roger l’avait calculé… Ajoutez aussi que la seule façon pour un avion en pareille situation (du moins un appareil de cette époque) est de filer vent dans le dos pour sortir de la tempete sans y laisser du bois...
Par ailleurs, le prénom d’Horus a été choisi pour marquer un appareil hors série basé au Caire et puis Horus est représenté par un faucon…
Caractéristiques |
Envergure: 39,62 m Longueur: 28,09 m Hauteur: 8,2 m Surface de voilure: 277,68 m2 Poids à vide: 8047 kg Poids total autorisé en ordre de marche: 12700 kg Motorisation: quatre moteurs Bristol "Jupiter" XFBM, 9 cylindres, 550 cv (414 kW) Vitesse maximale: 200 km/h Vitesse de croisière: 150 à 170 km/h Autonomie: 800 km |
L'appellation "Hook" vient du nom de code donné par l'Otan. Cet hélicoptère a détenu beaucoup de record notamment le record de transport de charge utile avec plus de 20 tonnes. Il se caractérise aussi par ses ailes, plutôt rare pour un hélicoptère, ainsi que ses réservoirs extérieurs. Notons également que dans certaines versions il pouvait transporter 120 passagers, et dans sa version hôpital, il pouvait transporter 41 brancards et deux ambulanciers. Toutes versions confondues il a été fabriqué à un peu plus de 850 exemplaires.
Caractéristiques |
Equipage : 2 pilotes, 1 mecanicien de bord, 1 navigateur, 1 operateur radio Capacité passagers: 70 personnes Longueur: 33,2 m Rotor: 35 m Hauteur: 9,9 m Poids à vide: 27.240 kg Poids en charge Max: 38.400 kg Vitesse Max: 186 mph (300 Km/h) Rayon d'action: 640 km Moteurs: 2 Turbines Aviadvigatel/Soloview D-25V(TB-2BM) |
Roger Leloup semble apprécier les petits cabriolet Fiat puisque Vic a un cabriolet 850 dans Le trio de l’étrange, et Ingrid un cabrio ritmo(normal pour une musicienne) Bertone. La première Fiat X1/9 a été offerte à Yoko par le Le major c’est un modèle 72 ou 73, rouge orangé (réf 171) à jantes toles, immatriculé LU 42241 (voir les plaques).
Au printemps 1973 elle valait 21900 F, c’était un des cabriolets les plus abordables du marché mais sa reste un beau cadeau !
Cette X1/9 rouge joue un rôle important dans Message pour l’éternité et La frontière de la vie.
Dessinée par Bertone, c’est plus un coupé à toit escamotable qu’un cabriolet pur. C’est sécurisant, confortable et accessoirement pratique pour balancer un extincteur dans le pare brise des sales types en Porsche verte qui vous collent au pare-chocs arrière.
C’est une stricte 2 places à moteur central arrière. Il est placé juste derrière les sièges, cette dispositions mécanique est gage d’un équilibre théorique neutre ;
Un peu de théorie :
quand une voiture aborde trop vite un virage, si elle refuse de tourner et qu’elle "tire" tout droit, on dit alors qu’elle est sous-vireuse. Ce comportement se retrouve sur les voitures à mécanique et roues avants motrices Si au contraire la voiture rentre dans le virage et que c’est l’arrière qui dérape, on dira qu’elle est sur-vireuse. Par exemple , pour rester raccord avec les aventures de Yoko, la Porsche qui tente de la balancer dans le décor de l’album Message pour l’éternité, est une typique sur-vireuse : mécanique puissante placée tout à l’arrière et roues arrières motrices. C’est ce qui les rend plus amusantes à piloter, paraît-il. Mais pour tous les jours et sur routes mouillées le tête-à-queue imprévu et ces funestes conséquences sont vite arrivés. On peut noter que ces voitures « tout à l’arrières » ont disparues des productions actuelles et que les plus anciens d’entre nous se souviennent des frayeurs ou des joies procurées par les Renault dauphine, R8 (surtout Gordini) et autre Simca Rallye 2.
La Fiat X1/9 a donc à l’époque démocratisé cette architecture mécanique particulière et originale mais qui restera cantonnée aux petites voitures sportives. A cause des 2 places uniques et le manque de coffre(au propre comme au figuré en ce qui concerne la X1/9, mais on verra ça plus tard). En France à la même époque il y avait les Matra 530, puis Bagheera et plus tard Murena qui avaient la même architecture.
Son moteur est un 4 cylindres en ligne de 1300 cm2 issue de la grande série Fiat. Elle à 4 freins à disques, pas si courant à l’époque, et des phares escamotables électriques. Elle atteint les 170 km/h avec ses 75 chevaux DIN. Comme toutes les voitures italiennes de l’époque, elle a deux gros défauts : une finition douteuse et surtout c’est un épouvantable piège à rouille. Si vous souhaitez jouer les Yoko Tsuno, vous aurez du mal à trouver un beau modèle exempt de rouille et parfaitement d’origine. Si toutefois l’aventure vous tente un bon conseil : faites vous accompagner par un mécano de confiance connaissant bien les X1/9. Il vous en coûtera environ 6100 € pour un modèle 73 rouge en parfait état de 100 000 km d’origine. Si vous arrivez à en dénicher un !
(Commentaire Info et Photo F. Roussel)
La SA-341 "Gazelle" est un hélicoptère léger, plutôt destiné au départ à une utilisation militaire mais qui eu un grand succès dans le civil. Il a commencé à être fabriqué en série à partir de 1970 en colaboration avec le Royaume-Uni. SA vient du nom de son constructeur Sud-Aviation qui après diverse fusion, fait aujourd’hui fait parti du groupe EADS. Malgré son age avancé cet hélicoptère est toujours très utilisé de nos jours par diverses armée dans le monde.
Sauf erreur de notre part, 2 gazelles ont été utilisées par Roger Leloup, une dans Messages pour l’éternité et l’autre dans Le feu de Wotan.
Caractéristiques |
Hélicoptère Franco/anglais Un pilote,Quatre passagers Longueur: 11,9 m Diamètre rotor: 10,50m Poids: 2.022 livres (917 kg) Vitesse Maximale: 310 km/h Plafond: 20.000 pi Distance franchissable: 670 Km. |