Le septième code existe aussi en version spéciale. Cette version, appelée « Esquisse d’une Œuvre », renferme, en plus de l’album, 32 pages de crayonnés accompagnés des commentaires de Roger Leloup sur la naissance du Septième code. Le format est plus grand que l’album traditionnel, soit 25,7cm x 36,7cm pour la couverture et  24,5cm x 36cm pour les pages. De plus, le papier est d’une qualité supérieure.

• Il y a bien sûr de nouveaux engins. Vous avez déjà pu voir le Catalina et le Kaydet dans la pré présentation de Spirou, mais il y a également un prototype russe bien étrange.

• On y parle aussi de musique. Emilia n'est pas encore une virtuose, mais elle tient à le devenir, comme l'était sa mère. Petite précision importante : son violon est un Guarneri fabriqué par Petrus Guarnerius et ses cordes sont naturelles. On le précise, car ce violon a déjà fait couler quelques posts dans le forum.

• Pour le plus gros du mystère, nous laissons la parole à Emilia : Yoko m'agrippe parce que je suis pétrifiée à la vue d'un cadavre que j'ai à mes pieds et qu'elle (Yoko) a peu de secondes pour nous éviter de passer avec d'autres dans l'autre monde.
La solution est derrière ce sas qui se situe bien en Amazonie... Nous sommes en Amazonie tout le long de l'histoire. Dans cette région il n'y a que des arbres et de l'eau... et c'est tout plat... On n'y trouve donc que ce que l'homme y a amené ou construit...

• Nous avons eu aussi droit à cette image, extraite de la page 5. Il s’agit là d’une photocopie de la page originale, coloriée aux crayons de couleur par Roger Leloup ainsi que Madame Leloup, qui participe à cette étape de la fabrication. C’est ensuite le studio Leonardo qui finalise le coloriage à l’ordinateur.